Comme pour le deuxième plan, j'ai opté pour des vaguelettes de sable au premier plan. Effet désert garanti. A ce stade là les oryx ne ressemblent plus qu'à des fantômes vaporeux. Sitôt la moitié gauche ensablée, je m'occupe enfin des animaux, qui sont quand même le coeur du dessin. Je dois légèrement agrandir l'oryx du milieu qui est, à mon avis, un peu petit par rapport aux autres. Je ne parle pas du juvénile qui va évidemment rester petit.
Les décors à tendance minérale sont plutôt faciles à réaliser, surtout lorsqu'il s'agit de montagnes, de rochers, d'éléments statiques qui supportent parfaitement les approximations. La difficultés que je découvre avec le désert est que malgré le côté indéniablement minéral, le désert est tout sauf statique. Le mouvement imprimé sur le sable est régulier mais imprévisible, il a sa propre logique qu'il faut décoder pour le reproduire sans trop se tromper. La tâche est plus compliquée que je ne le croyais mais je vais tenir bon et finir avant Pâques si tout va bien.
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